5 faCons de se la jouer A Buenos Aires

1 - Comme un polo addict Au Brésil, on respire football, chez le voisin argentin, polo. Lorsque débute la saison des matchs (de septembre à décembre), et particulièrement pendant l’Abierto Argentino de Palermo, les Porteños, toutes classes confondues, vont supporter leur équipe préférée au Campo Argentino de Polo, surnommé « la cathédrale du polo » (au croisement de l’avenida del Libertador et l’avenida Dorrego). Le favori ? Adolfo Cambiaso, le plus jeune joueur à avoir obtenu un handicap 10 et accessoirement, le Jude Law local. A la différence près que le beau brun ténébreux, surnommé Dolfi, est un mari exemplaire (pas étonnant lorsque l’on voit sa bomba latina de femme, María Vazquez, mannequin à ses heures perdues). Pour se consoler de cette fidélité exemplaire (mais agaçante), les fans se rattrapent sur...

2 - Comme un danseur de tango Qu’on se rassure, "la pensée triste qui se danse" n’est pas (entièrement) tombée dans le domaine touristique. Un tour dans San Telmo, sur la Plaza Dorrego, l’une des plus anciennes de la ville, suffit pour s’en (r)assurer. Ici, lorsque les stands de la Feria de San Telmo (tous les dimanches) ferment, des couples passionnés dansent encore comme si leur vie en dépendait. A deux pas, dans l’historique Cafe Sur (Estados Unidos 299), on rejoue la scène du tango du film « Happy Together » de Wong Kar-Wai, là même où elle a été tournée. Mais avant tout, pour assurer sur la piste, on file dans le quartier...

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